Accéder au contenu principal
Rue du Grand-Chêne 8bis, 1003 Lausanne, Suisse
ACTUS

Fatigue de la rentrée : une simple baisse d’énergie ?

Chaque année, à la rentrée, nombreux sont les personnes confrontés à ce phénomène courant : une fatigue persistante, un sentiment de baisse d’énergie, parfois accompagnés de troubles de concentration ou d’irritabilité.
Sur le plan global, la transition entre vacances et vie scolaire ou professionnelle génère un dérèglement du rythme veille‑sommeil, des modifications du mode de vie (horaires, alimentation, stress), source de symptômes diffus mais pénibles.
Cette période est aussi une opportunité pour renforcer les mesures de prévention médicale : la rentrée représente un moment stratégique pour effectuer un bilan de santé préventif.



Et si ce n’était pas de la fatigue ?

La fatigue de la rentrée inclut des symptômes variés : troubles du sommeil, irritabilité, transit perturbé, difficultés de concentration et baisse de motivation. Les causes sont souvent multifactorielles :

  • Dérèglement du rythme circadien : horaires de coucher et lever variables en vacances causent un décalage biologique difficile à rétablir immédiatement.
  • Stress de la reprise : anxiété liée à la charge mentale du nouvel emploi du temps ou des responsabilités.
  • Causes médicales plus profondes : infections virales, troubles hormonaux, carences (fer, vitamines), pathologies thyroïdiennes, etc.

Une fatigue non résolutive en quelques semaines, ou associée à d’autres signes (perte d’appétit, douleurs, troubles cognitifs) justifie une investigation diagnostique approfondie : anémie, dysfonction thyroïdienne, déficits vitaminiques, troubles du sommeil, stress chronique…



Qui cela concerne ?

Tout le monde.

En Suisse, la FMH (Fédération des Médecins Suisses) et l’OFSP (Office fédéral de la santé publique) insistent sur l’importance des bilans de santé réguliers, notamment autour des transitions saisonnières ou de vie, pour prévenir les maladies silencieuses et détecter les troubles précoces. Bien que les recommandations spécifiques ne mentionnent pas explicitement la rentrée, l’esprit de vigilance et prévention est central. Les ligues spécialisées (pulmonaire, cardiologique, etc.) encouragent également les évaluations ciblées selon les facteurs de risque.

Les sources récentes montrent que :

  • En Suisse, deux tiers des médecins-assistants et chefs de clinique se déclarent fréquemment fatigués, en lien avec des charges de travail élevées (plus de 50 h/semaine pour la moitié d’entre eux).
  • Au niveau international, les troubles liés au stress et à la fatigue chronique augmentent la morbidité à long terme, notamment cardiovasculaire, métabolique ou psychiatrique.
  • Selon Aspera Medical, la rentrée de septembre est le moment idéal pour réaliser un bilan de santé : disponibilité médicale, dynamisation d’une dynamique positive, et dépistage d’affections silencieuses (HTA, diabète, carences, pathologies thyroïdiennes).


Études scientifiques de référence

Dans le contexte de la fatigue et de la prévention, les recommandations de dépistage ne proviennent pas spécifiquement des grandes études de dépistage du cancer (NELSON, NLST, USPSTF) ou de l’ESMO, mais s’appuient sur :

  • L’ONS (Organisation mondiale de la santé), qui montre l’impact du stress chronique sur la santé cardiovasculaire.
  • Les données de l’Inserm, soulignant que la fatigue peut être un signe précoce de pathologies métaboliques ou cardiovasculaires.
  • L’expérience d’Aspera Medical, qui propose un bilan de rentrée structuré, avec interrogatoire, prise de sang ciblée, analyse de la fatigue et du sommeil, et recommandations personnalisées.


Avancées technologiques de l’imagerie

Au CID Lausanne, les dernières technologies d’imagerie offrent des atouts majeurs dans le bilan de fatigue non spécifique :

  • Imagerie thyroïdienne (échographie) en cas de suspicion de pathologies autonomes ou nodulaires.
  • IRM cérébrale si des signes neurologiques (céphalées, troubles visuels ou cognitifs) apparaissent.
  • Imagerie thoracique (scanner ou radiographie) accessible pour des symptômes respiratoires persistants ou après infection (e.g. post-COVID).
  • Échographie abdominale si suspicion de pathologies digestives ou hépatiques.

L’intégration de l’imagerie fonctionnelle ou IA‑assistée au CID permet une détection plus fine, une lecture plus rapide et une interprétation augmentée. L’intelligence artificielle peut aider à prioriser les analyses, détecter des anomalies subtiles et proposer des suggestions de suivi.



Apport de l’intelligence artificielle en imagerie

L'IA en imagerie médicale améliore :

  • La précision diagnostique, via la détection de anomalies minimes parfois difficiles à repérer.
  • La rapidité d’interprétation, ce qui permet un retour plus rapide au patient et à son médecin.
  • Le filtrage préliminaire des images, pour prioriser les cas urgents (incidentalomes thyroïdiens, anomalies cérébrales).

Au CID Lausanne, l’IA enrichit la qualité des bilans en soutenant radiologues et cliniciens, pour une prise en charge plus efficace.



Cas clinique illustratif

(scénario pédagogique détaillé)

Mme B., 45 ans, cadre à Lausanne, reprend le travail en septembre. Après deux semaines, elle se plaint d’une fatigue persistante, de difficultés de concentration, de réveils nocturnes et d’une irritabilité inhabituelle. Le rythme de sommeil était bouleversé durant les vacances.

Elle prend rendez-vous au CID Lausanne, où l’on réalise :

  • Analyses de sang : découvre une carence en fer et une hypothyroïdie fruste.
  • Une échographie thyroïdienne montre un nodule bénin inflammatoire.
  • Une imagerie n’est requise au-delà de l’échographie.

La prise en charge : supplémentation en fer et thyroxine, conseils pour un retour progressif à une hygiène de vie stable (rythme, sommeil, alimentation), suivi de contrôle à 3 mois. Mme B. retrouve progressivement son énergie et sa concentration.

Ce cas montre qu’une simple fatigue de rentrée peut cacher des causes traitables — d’où l’importance du check‑up préventif.



Arguments différenciateurs du CID Lausanne

  • Technologies d’imagerie avancées, avec IA pour une précision accrue et un rendu rapide.
  • Approche holistique : du bilan biologique à l’imagerie en passant par le suivi personnalisé.
  • Savoir‑faire, rigueur médicale, coordination interdisciplinaire, respect des recommandations FMH et OFSP.
  • Disponibilité et flexibilité de consultation, idéale pour les transitions comme la rentrée.
  • Accompagnement complet du patient, avec des recommandations adaptées, un suivi humain et un parcours fluide.


FAQ

Pourquoi suis‑je si fatigué(e) après les vacances ?

La fatigue de rentrée est souvent due au dérèglement de votre horloge interne (rythme veille-sommeil perturbé), au stress de reprise, à une alimentation déséquilibrée ou à des carences. Cela peut aussi refléter une pathologie silencieuse, d’où l’intérêt du check‑up.

Combien de temps dure la fatigue post‑vacances ?
Elle est généralement passagère et dure environ 15 jours, mais persiste chez certains en raison de causes multiples.
Quand faut-il consulter ?
Lorsque la fatigue persiste plus de 2‑3 semaines, s'accompagne de symptômes associés (troubles du sommeil, maux de tête, irritabilité, perte de performance), ou qu’un trouble sous-jacent est suspecté.
Pourquoi choisir le CID Lausanne pour un check‑up ?
Le CID offre un parcours complet, intégrant imagerie de pointe, IA‑assistée, expertise pluridisciplinaire, et suivi personnalisé — une approche parfaitement adaptée à la prévention et au diagnostic au moment de la rentrée.